L’Assemblée nationale a ouvert, le samedi 15, sa session ordinaire de mars 2025, dans un contexte sécuritaire et politique préoccupant. Parmi les points clés de son discours, Vital Kamerhe, président de la chambre basse du Parlement, a évoqué la question de service militaire obligatoire ; l'examen de la loi portant lutte contre le tribalisme, le racisme et la xénophobie pour préserver la cohésion nationale ; l’examen des résolutions de la Cour des comptes et des rapports annuels des institutions d’appui à la démocratie.

Sur 170 initiatives de contrôle parlementaire déposées entre septembre et décembre 2024, seules sept avaient été examinées en plénière. Plus frappant encore : aucune initiative portant sur la crise sécuritaire dans l’est de la RDC n’a été débattue. Alors que les affrontements s’intensifiaient sur le terrain, l’Assemblée nationale est restée silencieuse, jusqu’à ce que la chute de Goma la contraigne à réagir.

Sur les 500 députés nationaux composant l’Assemblée nationale de la RDC, à l’heure actuelle, seuls 493 siègent. Pourquoi ce nombre ? Où sont les sept autres députés ? On vous explique.

Le gouvernement Suminwa a attendu le dernier jour pour déposer, dans les délais, le projet de loi de finances 2025. L’Assemblée nationale dispose désormais de 40 jours pour l’adopter. Dans le passé, ce délai n’est pas systématiquement tenu. Qu’en sera-t-il cette fois-ci ?

L’Assemblée nationale a ouvert, le lundi 16, sa session ordinaire de septembre 2024. Vital Kamerhe, président de la chambre basse du Parlement, a annoncé quelques priorités : parachèvement du processus de mise en place et d’installation des organes techniques, adoption de la loi de finances et contrôle parlementaire renforcé sur certains secteurs clés. Mais pas seulement.

L’Assemblée nationale a clôturé, samedi 15 juin, sa session de mars 2024. Cette première session ordinaire de la nouvelle législature n’a duré que 23 jours.

Alors que Judith Suminwa, la nouvelle Première ministre, poursuit ses consultations pour former un nouveau gouvernement, Talatala dresse, dans ce volet de sa série Landila (suivre, en kikongo), un bilan des actions du gouvernement sortant de Sama Lukonde concernant la réforme de la justice.

Le 22 avril, après correction d'erreurs dans son arrêt du 12 mars relatif à la proclamation des résultats définitifs des législatives du 20 décembre 2023, la Cour constitutionnelle a validé l'élection de cinq députés non proclamés initialement par la Ceni.

[Mise à jour] Au total, l’Assemblée nationale compte désormais 68 députées femmes, en attendant le rapport final de la commission spéciale et temporaire devant vérifier les dossiers des premiers suppléants des députés ayant renoncé à leur mandat parlementaire.

À l’approche de la journée consacrée aux droits des femmes, Talatala vous propose un zoom sur les députées femmes à l’Assemblée nationale. Au total, elles sont 63 à siéger à la session extraordinaire inaugurale de cette nouvelle législature 2024-2028, en attendant la proclamation définitive des résultats par la Cour constitutionnelle.